Appel à tous! Aidez-nous à identifier cette seconde photo de Montréal au début du 20e siècle!

 

Tout comme notre photographie précédente, celle-ci provient du fonds d’archives de la Commission des services électriques de Montréal (CSEM). La photo a été probablement prise à la fin de la décennie 1910. Est-ce l’intersection de la rue Saint-Denis et de la rue Dorchester (devenue René-Lévesque)?

Nous lançons donc un appel à tous pour nous aider à identifier de façon précise cette image de Montréal.

Et nous vous remercions à l’avance de votre participation et de votre intérêt!

Partagez cet article :

25 réponses à Appel à tous! Aidez-nous à identifier cette seconde photo de Montréal au début du 20e siècle!

  1. Bernard Vallée dit :

    C’est l’intersection Ste-Catherine et St-Denis, vue vers l’est, avec l’asile de la Providence au fond, à l’angle de St-Hubert.

    Bernard Vallée

  2. lgovro dit :

    Avec l’agrandissement, j’ai pu identifier le commerce « Hurteau – pianos ». Je viens de trouver une publicité de ce commerce à BAnQ, avec son adresse, publiée dans Le Passe-Temps, en 1897.

    https://bibnum2.banq.qc.ca/bna/passe/src/1897/vol.003/no.052/163304_052_080.pdf

    Dans la publicité, il est indiqué que l’adresse civique est 1680 et 1686 Sainte-Catherine. Aujourd’hui, cette adresse dans « l’Est » se situe plutôt près de la rue Papineau que de Saint-Denis. Est-ce que la numérotation des adresses civiques en 1897 était différente?

    Luc Gauvreau

    • Le grand changement de toutes les adresses civiques de la Ville de Montréal s’est produit entre 1926 et 1930.

      • lgovro dit :

        Au sujet de ce « grand changement » des adresses civiques.
        Est-ce que les numéros ont changé pour toutes les rues?
        Y a-t-il un répertoire, une liste, un index ou un outil de référence qui établit la correspondance entre l’ancien numéro civique (avant 1926-1930) et le « nouveau »?
        Y a-t-il un outil qui permet de suivre l’adresse civique à travers l’histoire de la ville? A travers les changements toponymiques aussi?
        Merci

      • C’est une excellente question! Nous allons préparez bientôt un article sur les adresses civiques.

  3. Isabelle G. dit :

    Bonjour,

    J’habite Québec (ce n’est pas ma faute!) alors je ne peux pas vraiment vous aider pour identifier des photos. Cependant, je trouve que c’est une très bonne idée de diffuser vos photos par l’entremise du blogue pour demander l’aide des internautes!

    Isabelle G.
    Étudiante en Techniques de la documentation
    Collège François-Xavier-Garneau

  4. Isabelle G. dit :

    Reblogged this on Technicienne en documentation… en devenir! and commented:
    L’appel à tous par l’entremise du blogue des Archives de Montréal : une belle utilisation des technologies pour identifier des photos d’archives!

  5. Armand roy dit :

    Oui, c’est très probablement à l’intersection Ste-Catherine et St-Denis car le nom de la rue St-Denis apparaît au dessus des boîtes à malle et l’histoire du magasin Archambault musique nous apprend que le magasin de piano J.A. Hurteau était situé à l’angle St-Denis et Ste-Catherine avant 1930.

  6. Guillaume St-Jean dit :

    L’édifice en avant plan est l’école St-Jacques

  7. R. Massicotte dit :

    En effet, les commentaires précédants sont assez précis. J’ajouterais que dans le Lovell, Hurteau Pianos, etc. est situé au 316 rue Ste-Catherine Est, entre St-Denis et Berri.

  8. R. Massicotte dit :

    Il s’agit du Lovell de 1906-1907, année qui correspond, je crois à la photo énigmatique en question.

  9. Armand roy dit :

    Ma question est un peu hors sujet, mais quelqu’un sait-il quel est l’animal à deux pattes qui apparaît près de la borne fontaine. Est-il possible qu’il y ait eu des animaux de ferme sur la rue Ste-Catherine à cette époque ?

    • MontréalMartin dit :

      Effectivement l’image est assez confondante. Ça peut ressembler à une poule de loin. En regardant bien par contre on s’aperçoit qu’il s’agit d’un chien dont on ne voit pas l’arrière-train, probablement en raison d’un mouvement rapide du chien et de la relative lenteur du cliché.

  10. truteau dit :

    Hurteau Musique a été acquis par Archambault Musique. Ce commerce était angle Berri et Sainte-Catherine.

  11. je suis tombé sur une page du journal THE MONTREAL DAILY MAIL wednesday décember 3 1913,et l,article indique une publicité de Hurteau,williams et co limeted at peels st 510 st catherine west

  12. Francis Macbeth dit :

    Comme le coin de rue a été démystifié, voici quelques infos sur J.A. Hurteau, issues de mes recherches sur l’industrie des instruments de musique à Montréal de 1800 à 1950.
    Joseph Alcime Hurteau est un personnage important du commerce de piano chez les francophones à Montréal. Il ouvre son commerce au début des années 1890 sur la rue Sainte-Catherine, à l’est de Saint-Hubert, sous la bannière de Hurteau & Foucher. Il est également associé en 1895 à Thos. F. G. Foisy dans la Canada Piano Co. C’est lui qui donne la première chance à Edmond Archambault, qui ouvre un comptoir de musique en feuilles dans le magasin de M. Hurteau en 1896. Une nouvelle association prend forme en 1897 avec M. Gervais, un autre marchand de piano montréalais. Le magasin Hurteau & Gervais déménage en février 1897, toujours sur Sainte-Catherine, mais cette fois au coin de la rue Saint-Denis. Alors que l’association avec Gervais se termine en1898, J.A. Hurteau permet à Edmond Archambault d’occuper graduellement plus d’espace dans son magasin. Il obtient l’agence de plusieurs marques réputées de pianos, dont Karn et Chickering. Il devient agent canadien pour la compagnie de phonographes et de disques Pathé de Paris vers 1907. Il ouvre une deuxième surface de vente au coin sud ouest de Ste-Catherine et St-Denis en 1909 ainsi qu’une manufacture rue St-Hubert. Il s’associe vers 1910 avec R.S. Williams, le fabricant ontarien et ils ouvrent une succursale sous le nom de Hurteau & Williams au 589 Ste-Catherine ouest. M. Hurteau meurt subitement en 1915, suite à un accident de voiture, alors que son entreprise est en peine expansion. Après avoir transité par les mains de C.W. Lindsay, son commerce sera repris par Edmond Archambault en 1917.

    Historien de l’industrie des instruments de musique à Montréal.
    [email protected]

  13. Maxime dit :

    Sur la pub hurteau ca dit 2e porte a l’est de st-denis donc on regarderait l’angle st-denis ste-catherine

  14. Maxime dit :

    Mais si cest st-denis/ste-catherine où est l’eglise st-jacques ?

  15. Maxime dit :

    https://bibnum2.banq.qc.ca/bna/massic/high/6-11-a.jpg

    BAM!! Trouvaille de Mme Chapleau, ma mère.

  16. Lise Noël dit :

    En mars 2012, vous mentionniez la venue prochaine d’un article sur les changements d’adresses civiques. Avez-vous eu l’occasion de le rédiger. Ce serait fort utile.
    Merci
    Lise

  17. Liette Lacasse dit :

    Où peut-on s’adresser pour savoir à quoi une ancienne adresse correspond aujourd’hui? Je cherche à quoi correspond le 719, Ste-Catherine est que j’ai trouvée dans un document de 1918, ancienne adresse de mon grand-père et arrière-grand-père. Je pensais que cela était supposé être dans le parc Emilie-Gamelin, mais vous m’apprenez que les adresses ont été changées par la suite.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *