À l’ombre des usines de la pointe Saint-Charles, 1937 (extrait de «Vivre Montréal, 1920-1969»

Traversant les arrondissements de Verdun, du Sud-Ouest et de Ville-Marie, la rue Wellington est nommée en 1817 en l’honneur du général Arthur Wellesley, duc de Wellington, vainqueur de Napoléon 1er à Waterloo. Au coin de la rue Bridge, la taverne Belmont fait face aux voies ferrées du Canadien National aux abords desquelles s’élèvent de nombreuses usines. Après des décennies de développement économique et démographique grâce aux industries et au transport maritime sur le canal de Lachine, la pointe Saint-Charles subit un déclin lié notamment à l’ouverture de la voie maritime du Saint-Laurent en 1959, qui provoque la fermeture du canal. Depuis vingt ans, des efforts sont entrepris pour dynamiser le quartier Sud-Ouest avec l’aménagement de lofts dans les anciennes usines longeant le canal de Lachine.

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1 réponse à À l’ombre des usines de la pointe Saint-Charles, 1937 (extrait de «Vivre Montréal, 1920-1969»

  1. Sylvie Daulne dit :

    Je suis actuellement au 2233 rue Pitt… quelle industrie s’y trouvait ?

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