Depuis le 22 septembre, à tous les lundis et pour une deuxième saison, une chronique des Archives de Montréal est présentée à l’émission Montréalité sur la chaîne MAtv (https://montrealite.tv/). Vous pourrez revoir les archives sélectionnées et aussi lire les informations diffusées et inédites. Regardez notre chronique à la télé et venez lire notre article sur archivesdemontreal.com
***
Les origines
À la fin du 17e siècle, on voit s’établir des tanneries sur le chemin entre Montréal et Lachine. En raison des mauvaises odeurs qu’elles dégagent, ces tanneries doivent être installées à l’extérieur de la ville.
Certaines d’entre elles se retrouvent ainsi près d’un ruisseau (devenu chemin Glen et rue de Courcelle) qui se jettait dans le lac à la Loutre qui était situé près de parc du même nom sur la rue Saint-Ambroise et qui s’étendait probablement jusqu’à l’échangeur Turcot.
Au siècle suivant, Gabriel Lenoir dit Rolland (1688-1751) devient le premier des Rolland à établir une tannerie dans le secteur actuel de Saint-Henri. D’ailleurs, vers 1825, l’endroit est connu sous le nom de Village des Tanneries des Rolland. À cette même époque, une bonne partie de cette population vit des métiers du cuir et a accès à une chapelle. Le nom «Village Saint-Henri» apparaît même sur une carte de 1834.
Vue prise de la Côte des « Tanneries des Rolland », aquarelle de James Duncan, Octobre 1839. BM99-1_01-p-258
Création de la ville de Saint-Henri
Avec l’ouverture du canal Lachine et son élargissement durant la décennie 1840, le village des Tanneries commence à s’industrialiser.
Le premier chemin de fer montréalais entre Montréal et Lachine, inauguré en 1847, passe par Saint-Henri. En 1862, on construit même une première gare et une seconde à la fin du siècle. Le trajet original est de devenu le parc du Premier-chemin-de-fer.
Gare de Saint-Henri, début du 20e siècle. VM6,R3067-2_3619-4636O-002
À la suite du démembrement de la grande paroisse de Montréal, l’évêque de Montréal Ignace Bourget créé la paroisse de Saint-Henri-des-Tanneries le 2 juillet 1867.
Église de Saint-Henri, 20e siècle, VM6,R3365-2_4115O-005
Finalement, en 1875, on érige la Ville de Saint-Henri dont le premier maire est Narcisse Trudel. L’année suivante, une partie de la municipalité est détachée pour créer Sainte-Cunégonde.
Carte de Saint-Henri, 1879, P500-5_3op_Page_23
En septembre 1883, on inaugure un hôtel de ville tout neuf qui sert à la fois de poste de police et de caserne de pompiers.
Ancien hôtel de ville de Saint-Henri, années 1920. VM94-Z14
L’annexion
De 1881 à 1901, la population de Saint-Henri passe de 6 400 habitants à plus de 21 000. De grandes manufactures s’y installent comme la Merchand Manufacturing (Dominion Textile en 1904) ou d’autres qui profitent d’importantes exemption de taxes. De plus, comme la règlementation municipale est aussi plus souple qu’à Montréal, on construit des résidences et des immeubles en bois dont les loyers sont plus bas qu’en ville pour attirer des ouvriers montréalais et des ruraux.
Maison de la rue Saint-Jacques à Saint-Henri. 1928, VM6-D1901-30-039A
Mais la voirie est en mauvais état, il manque d’égouts et l’administration municipale a une dette qui s’élève à presque 2 millions de dollars. Le maire et le Conseil acceptent donc l’offre d’annexion de la Ville de Montréal en 1905, la même année que sa municipalité voisine Sainte-Cunégonde.
Le quartier de Saint-Henri
Après l’annexion, la population ne cesse de croître et atteint 30 000 en 1911. La compagnie Imperial Tobacco s’installe dans le quartier en 1907. À la fin de la Première guerre mondiale, la compagnie emploie 3 000 personnes. En 1919, la compagnie de matelas Simmons ouvre ses portes. Côté culturel, on assiste à l’inauguration du Théâtre Corona au cours de la même décennie (1912).
Imperial Tobacco, début du 20e siècle, VM6,R3082-2_2344-4566O-005
Compagnie de matelas Simmons, 1963, VM94-C523-016
La grande crise économique qui débute en 1929 a, comme dans d’autres quartiers montréalais, un impact considérable sur Saint-Henri. Des travaux de chômage doivent être entrepris. L’ancien hôtel de ville de Saint-Henri sur la Place Saint-Henri est démoli pour place à la caserne de pompiers numéro 23 de style Art Déco qui est inauguré en mai 1931.
Vue aérienne de la Place Saint-Henri, 11 juin 1975, VM94-B176-174
Caserne de pompiers numéro 23 sur la Place Saint-Henri, décennie 1970, VM6,R3381-2-004
Toutefois, la population diminue et les logements se détériorent. Saint-Henri, avec sa concentration d’industrie et sa population ouvrière très francophones devient le quartier ouvrier-type canadien-français décrit par Gabrielle Roy dans le roman Bonheur d’occasion et montré en 1962 dans le documentaire de l’Office national du film réalisé par Hubert Aquin, À Saint-Henri le 5 septembre.
À Saint-Henri le cinq septembre (ONF, réalisé par Hubert Aquin, 1962)
Rue Saint-Antoine à l’angle de la rue Du Collège, 4 novembre 1938, VM6,R3082-2_2344-4566O-008
Les années 60 et 70 seront difficiles pour le quartier : fermeture du canal Lachine et de plusieurs usines, construction de l’échangeur Turcot et de l’autoroute Ville-Marie, démolition de l’église et du collège Saint-Henri pour faire place à la polyvalente. C’est aussi à cette époque qu’apparaissent les premiers groupes populaires.
Heureusement, à partir des décennies 1980 et 1990, on assiste à une renaissance du quartier mais c’est là une autre histoire.
Rue de Courcelles, 1929. VM6-D1901-30-053
Sources :
Auclair, Élie-J. Saint-Henri des Tanneries de Montréal. Imprimerie De-La-Salle, 1942. 128 pages.
Benoît, Michèle et Roger Gratton. Pignon sur rue : Les quartiers de Montréal. Guérin, 1992, p. 1-29.
Héritage Montréal. Montréal en quartiers : Quartier Saint-Henri. 2006-2008. https://www.memorablemontreal.com/accessibleQA/intro.php?quartier=13 (page consultée le 20 octobre 2014)
Linteau, Paul-André. Histoire de Montréal depuis la Confédération. Boréal, 1992
Saint-Henri des Tanneries : Connaître Montréal par ses quartiers : Exposition historique. Groupe d’animation urbaine, 1981. 35 pages.
Société historique de Saint-Henri. Square Saint-Henri. La Société, 1992, 15 pages.
Allo,
J’aimerai avoir des photos de la rue Albert (Lionel-Groulx) coin Dominion SVP!
Merci,
Anne-Marie
Merci de nous contacter via le service de référence via les coordonnées indiquées à la page suivante : https://archivesdemontreal.com/nous-joindre/
Ping : Les inégalités sociales dans les quartiers St-Henri et Westmount | L'Histoire n'a pas de fin …
Je suis née à St-Henri en 1939 et j’ai travaillé 40 ans à l’Impérial Tobacco
tellement fière de dire que je suis issue de ce quartier ,je me promène souvent dans St-Henri et j’ai tellement de beaux souvenirs ,ça fait du bien de revoir ces documentaires
Ma grand-mère a travaillé chez Impérial Tobacco durant très longtemps. Peut-être la connaissez-vous? Yvonne Dubois Lapierre.
Mon père Léo Rondeau a travaillé à imperial tobacco dans ces années là.
J’y suis arrivé en 1963 sur st-Ferdinand entre st-Antoine et Richelieu dans un 41/2 d’un cold water flat époque de misère….étudié au collège st-Henri avec les frères du moins juste qu’a la construction de la polyvalente d’ou le monde changea pour une société sans respect….
je suis alle au college st henri de 1967 a 1970
Pouvez-vous m’expliquier votre phrase:
d’ou le monde changes pour une société sans respect.
Je ne sais pas en quelle année vous avez fréquenter le Collège St. Henri mes cousines Jean et Claude Lauzon y sont allés dans les années 40 plus. Moi je suis allée à l’Ecole Ste Mélanie et Au Couvent l’Ange Gardien.
Mon oncle Arthur Daigeault à été Waiterà la taverne Lamarche plus de 60 ans angle Bourget et Notre Dame
Je suis née e 1932 rue Sainte Émile entre Bourget et Turgeon, mes parents maternel Doray
Ping : Priska Coiffure | Hair Dresser | Montreal Quebec | Saint-Henri en quelques points
Bonsoir,j ai été Baptiser a l église st henri en 1948
mes parent ce son marié la
Bonjour je suis né à St-Henri au 281 Sainte-Marguerite près de la rue Sainte-Philomène, j’y suis resté jusqu’à l’âge de 25 ans, j’ai fait mon primaire à Jacques Viger et mon secondaire au collège St-Henri; j’y retourne à l’occasion voir ma soeur.Pour terminer je vous dirais que je n’y demeure plus mais St-Henri demeure toujours dans mon coeur et je suis fière d’y être né.
Je suis Marcel Rozon j’ai habité au 274 Rue Sainte Marguerite, j’ai bien connu la famille Matte face à chez nous. J’y ai habité de 1937 à 1959, j’ai connu de bons moments.
Seriez-vous donc le frère de Gisèele Rozon? avec qui j’ai fréquenté l’Ecole Ste Mélanie.
Bonjour Robert,
Pourriez-vous me dire si lorsque vous fréquentiez l’école primaire Jacques Viger n’accueillait que des garçons?
Ma famille viens de St-Henri. Ils avaient des propriétés sur la rue Workman et Delisle. Je cherche présentement à identifier une école ou mon père a fait sa première communion en 1943. Si quelqu’un pourrais trouvé le nom et l’emplacement de l’école, ça serait apprécié. Merci
https://flic.kr/p/GmXSN5
ecole victor rousselot rue delisle et rose de lima
victor-rousselot
L’école des garçons dans le temps était située rue delisle et portait le nom, d’Hiberville elle était entre les rues Dominion et folferd maintenant changé pour Georges Vanier. Pour ce qui est de l’école Victor Rousselot elle n’était pas construite à l’époque, je le sais parce que ma grand a demeuré coin rose de lima et saint-Émilie au même endroit où ils ont construit l’école elle est déménagée à la fin des années 60.tout dépend de qu’el côté d’Atwater vos parents demeurait, si c’est à l’est c’est l’école d’Hiberville et l’ouest c’était l’école saint-Iréné.
Bonjour Nicole, as tu demeurer sur la rue notre dame dans les debut des annees 1970?
il y avait l ecole st irenee pourles eleves 1er a 4e annee, et l ecole victor rousselot pour les 5e a 7e annee, victor rousselot a ete sur delisle et rose de lima en 1964 a 1970 environ et demoli par la suite pour une nlle ecole du meme nom je crois surla rue ste emilie aujourd hui
École d’iberville école primaire
Merci beaucoup pour votre aide.:-)
sa me rapelle beaucoup de souvenirs,je suis née a la maison rue tourville
merci de voire ces souvenirs
Si je ne me trompa pas de rue (tourville) mon père a demeuré sur Ste Marguerite entre Tourville et Ste Philomène. Ça fait longtemps puisqu’il est décédé à 83 ans et qu’il avais environ 8-9 dans ce temps la.
Pour moi le dépanneur Laurion etais sur le coin d’une de ces rues
Depaneur lalonde est toujours la sur st Marguerite et ste emilie!
je suis née a st henri,c est agréable de voire tout ces photos,merci a tout ceux qui partage
Que pourrais-je dire d’autre si ce n’est que c’est de la que parte mes racines. Je suis née sur la rue Baudoin et J’ai été a l’ecole à Jacques-Viger ma premiere et ma deuxième année ce quartier j’y serai toujours attaché.☺ merci pour les photos !
Bonjour,
J’ai besoins de références visuelles sur les pharmacies et bureaux de poste en 1970. C’est pour le cinéma
Merci beaucoup!
kim
Bonjour,
Vous pouvez faire une demande en nous écrivant à cette adresse : [email protected].
Vous pouvez aussi rechercher dans notre catalogue en ligne : https://archivesdemontreal.ica-atom.org/
Bonne suite.
Bonjour
je suis Richard Lalonde
Artiste Musicien multi instrumentiste compositeur
peintre
et aussi poète , chansons, textes, poémes, contes ,
j’ai toujours aimé la musique et l’art
je pourrais dire que je suis un genre de rescapé de st Henri
comme dans la chanson de Raymond Levesque
il y en a un parfois qui s’échappe et …….deviens….
toute la famille Lalonde vivais à st Henri
Notre dame de courcelles
st ferdinand aussi les Adam coté Maman
rue Agnes ….comme Lise Payette Yvon Deschamps
déménagé à 9 ans valleyfield
revenu à Ville Emard à 10 ans
j’ai cotoyé des bons et moins bons amis
exposé au crime très jeune
aussi je me suis poussé de ce coin
pour étudier la musique au CEGEP St Laurent
ce qui m’a probablement sauvé la vie
il y avais tellement de Bums autour
juste pour donner de l’espoir aux jeunes
Ne jamais lâcher et travailler fort pour réussir et s’en sortir
j’ai 62 ans
et ne lacherai jamais
musique art passion écriture
un de St Henri
qui s’en est sorti
aujourd’hui St Henri est inquiétant beaucoup de crimes
comme toujours dans les quartiers ouvriers
Ma mère était co-propriétaire de la pâtisserie Ricard, 279 de Courcelles, j’ai grandis à Ville-Emard et j’ai également fréquenté l’école de Vaudreuil sur le chemin St Paul coin St Rémi à St Henri. Il est vrai que ce n’était pas des coins faciles, comme tout les quartiers ouvriers d’ailleurs. J’aurais pu mal tourner, j’avais tout ce qu’il fallait pour ( batailleur de ruelles, petits méfaits, etc) heureusement le destin et la volonté de réussir à un autre niveau m’a sans doute sauvé. Aujourd’hui, en rétrospective, avec deux bacs, une maîtrise et vivant dans un beau quartier au milieu d’une famille fantastique, je crois m’en être pas si mal sorti. Chose certaine, je n’oublie pas mes origines et retourne régulièrement faire un petit pèlerinage dans le quartier en prenant le temps de m’arrêter prendre un lunch au Green Stop. Michel
Bonjour, j’ai demeuré sur la rue de Courcelles dans les années 1961 j’allais à l’école St-Zotique à l’arrière de l’église. Je me souviens très bien de la pâtisserie Ricard car je demeurais tout juste en face et un bon petit pain faisais parti de notre table presque à tous les jours. J’aimais tellement entrée dans la boutique car ça sentait tellement bon, la bonne pâtisserie fait maison. C’était une époque tellement plus zen les familles se parlait sur le perron le soir et la vie était tellement plus facile qu’aujourd’hui. Je m’ennui de cette époque. Ginette
Oui, c’était vraiment une autre époque où les gens étaient tissés serrés. Je me rappelle de tout les habitants du quartier qui venaient jaser dans la cuisine de la pâtisserie. Des personnages hauts en couleurs qui avaient toujours de bonnes histoires à raconter, ils se connaissaient depuis la petite école. C’est incroyable tout le plaisir que j’ai eu à côtoyer et écouter ces personnes qui aujourd’hui pourraient facilement faire partie d’un roman. D’ailleurs, je me demande parfois pourquoi quelqu’un à la plume facile et à l’imagination fertile ne pourrait pas faire quelque chose de fantastique avec tout ça…! Peut-être pourrai-je être une personne ressource, j’ai une excellente mémoire et le sujet m’intéresse. Avis aux intéressés…!
si je me souvient bien ta mère faisait la décoration des gateaux n’est-ce pas ? Je suis né à St-Henri sur la rue Beaudoin et Ste- Marie ,suis allé à l’école de Vaudreuil. Nous sommes déménagé à Granby en 1960 mon père travaillait chez Simonds saw qui a déménagé aussi à Granby.Mes parents allaient souvent aidé les Ricard dans le temps des Fêtes pour répondre aux besoins des clients la veille de Noel et du Jour de l’an
je suis un grand nostalgique vie encore avec ma jeunesse …heureuse meme si j étais d une famille tres tres ordinaire pere chauffeur de taxi et mere a la maison …
Moi je demeurais coin St Philippe et St Jacques et je pense pas me tromper qu’on viens tous de famille normale du temps soit ouvrière, mais moi Mongeau etais De l’autre côté de ma rue dans ce temps la.
Mois aussi j’ai fait Ste Melanie, ESSH, college st Raymond, Ludger Duvernay, Esther Blondin ma 12 eime, la 1 ère année avec des gars.
Je suis allée à l’école Ste Mélanie ainsi qu’à Esther Blondin mais dans mon temps il n’y avaient que des filles à ces écoles.
Bonjour,
J’habite au 4203, rue Saint-Antoine Ouest…angle St-Ferdinand…ce que je donnerais pour voir quelques photographies…scannées ou imprimées…
Merci!
Je suis née sur la rue St. Phlippe, en 1933, je suis allée à l’école Ste Mélanie et au couvent L’Ange Gardien ainsi que l’école Esther Blondin.
J’ai demeuré sur la rue St. Antoine entre Ste Marguerite et St. Philippe et à 4410 rue St. Jacques entre Lacasse et Lenoir.
Bonjour Marielle tu demeurais dans le meme édifice que mois!!!!j’ai adore ta mere et toi et aussi Ross. Mon nom est FRancine Rolland une famille de 4filles et un garçon…
Je vient tout juste de voir ton message Francine – celà m’a fait chaud au coeur, je pense toujours à ta belle famille, bien des causeries avec ta maman sur la galerie arrière. J’aimerais vraiment entrer en contact avec toi nous pourrions repasser nos bons souvenirs. Marielle
Quel plaisir de voir votre message Francine, je voudrais bien avoir la chance de recommuniquer avec vous et votre belle famille – j’ai tant de bons souvenirs de vous tous.
Êtes-vous parente avec Daniel Hébert qui vivait exactement dans votre coin ( St-Antoine) dans les années 70, il avait environ 18 ans à cette époque. Ses amis étaient en autres Serge Jean sur St-Phillipe peut-être, un dénommé Jean-Claude Riel, Fernand Chagnon, Serge St-Denis rue Laporte, Jacques Lessard rue Agnès et Michel Roy même rue et enfin Jean-Pierre Séguin dans la Petite Bourgogne. Je cherche un gars qui étudiait avec moi au Collège St-Henri qui s’appelait ? Murray et était très bon musicien. Je viens de la Pointe St-Charles et nous devions aller à St-Henri en 1969 car nous n’avions pas d’école secondaire encore.Comme étudiants nous étions embauchés à l’entrepôt de Dupuis et Frères sur la rue Brewster et c’est surtout là que j’ai connu ces gars et je peut vous dire que ces années à St-Henri sont dans les plus heureuse de ma vie. Vous voulez parler de St-Henri à cette époque ca va pour moi.
Bonjour Marielle,
En 1950, je suis allée à l’école Ste Mélanie, enseignée par les soeurs Ste-Anne jusqu’en 3ième année, mon enseignante était Soeur Marie Antoinette de la Trinité . Je l’aimais beaucoup, elle est une des seules dont je me rappelle avec mon prof de 1 ière année Madame Côté.
J’étais pensionnaire au couvent St-Henri. La cour était sur le même côté que la cour de Ste-Mélanie, d’un autre côté était la cour du Pensionnat de l’Ange Gardien des Soeurs Ste-Anne, et de l’autre côté était la Toilette Laundry. J’ai quittée en 1953 pour aller au Couvent Bethléem au Carré Richmond jusqu’en 1960. J’aimerais trouver des photos de ces endroits. Il y a longtemps que j’y pense, Il me ferait plaisir de te lire.
Je suis arrivée à St-Henri à l’âge de 2 ans. Je suis née à Tétreaultville, mais mon père a passé sa jeunesse à St-Henri, et toute la famille Bougie était à St-Henri, cousins, cousines, musiciens et musiciennes. Mon père travaillait à La Crane et ensuite à La Dominion Bridge. J’ai commencé à l’école Jacques-Viger à l’âge de 7 ans, dans la classe de mademoiselle Anna Berthelet, et fait ma première communion à l’église de St-Henri. Sommes ensuite partis vers la région de Valleyfield, j’habite maintenant sur la rive sud de Montréal, mais mon mari et moi faisons notre pèlerinage annuel à St-Henri, quartier auquel toute notre famille est attachée, et que ma mère avait adoré.
J ai demeuré a st henri sur la rue walker dans les années 1960
j ai été a école st irénée.
et j ai même travaillé a la banque cibc sur la rue notre dame
de 1977 a 1980 quand la succursale a fermé
que de souvenirs..
Mes arriere arrière-grands-parents, des Irlandais sont arrivés à Pointe Saint-Charles puis ont vécu à Saint-Henri, leurs cinq enfants Lynch y sont nés. Certains ont travaillé à la Gawen Gilmore, la petite dernière a marié Phileas Deguire qui avait une boucherie, rue Notre-Dame. Son beau-frère, Édouard Despocas était forgeron aussi à Saint-Henri.
Moi je suis né en 1953 sur la Rue DeCourcelles (659) tout a été démolie pour faire place à l’école construite ensuite nous sommes déménager au 707 St Philippe
J’aimerais bien communiquer avec des personnes de St. Henri qui seraient nées dans les années 1933 et qui seraient allées à l’Ecole Ste Mélanie.
Marielle Hébert
Il me ferait plaisir de communiquer avec des personnes qui sont allées à l’Ecole Ste Mélanie vers 1939
Estce quil y a quelqu’un qui peut put me dire c’est quoi jas davidson jr.? Sur la carte de st henri il montre sa a cote de la rue st Marguerite. Il est maintenant la rue beaudoin et jai faite Des recherche mais rien explique. Merci et j’ ma ville!
Bonjour, mon cousin est mort dans le canal Lachine le 28 décembre 1907. Il habitait au 114 rue Ste Emélie/Emilie. Il était tisserand et venait de France, département des Vosges, né à Senones en 1882. Auriez vous des photos de cette rue, de ce quartier, éventuellement de son adresse car je réalise un livret sur lui. Je retrace sa vie au canada, à Montréal. A l’immigration y aurait il encore des documents le concernant? Je crois qu’il est arrivé en mai 1907 par le Pomeranian en provenance du Havre, France. Mes remerciements Cordialement. Mme Toussaint Christine
Bonjour,
Pour toute demande d’information, merci de nous écrire à l’adresse [email protected] (https://archivesdemontreal.com/nous-joindre/)
Cordialement,
Etes-vous certain de l’adresse car en vérifiant les adresses de la rue Ste Emilie à Montréal il y a quatre chiffres et non trois.
Vous pouvez communiquer avec moi si vous le désirez. Je ferai mon possible pour vous aider.
La numérotation a été modifié en 1929-1930.
L’annexion de la ville de St-Henri à la ville de Montréal en 1905 est la raison.
Une recherche dans les annuaires Lovell, indique pour la rue Ste-Émilie que le 112 devient le 3808 et que le 116 devient le 3822.
Impossible de situé exactement la nouvelle adresse les résidents ne sont plus les même; toutefois il est à noter que le 3815 est sans occupant.
Il faudrait consulter les archives de la ville de Montréal pour des détails plus précis.
Bonjour Marielle, je suis désolée de ne pas vous avoir répondu plus tôt mais je viens juste de voir votre réponse. J’ai eu de gros problèmes informatique. Pour l’adresse j’en suis sure car c’est indiqué sur la coupure de journal suite à son dc dans le canal Lachine en 1908. J’aimerais beaucoup avoir quelques photos de l’époque de son quartier St Henri rue Ste Emélie ainsi que le document que le coroner a fait lors de son dc dans le canal. Je vous en remercie beaucoup par avance. J’habite à des milliers de km de Montréal, un petit village de 30 habitants à quelques kilomètres de la frontière belge. Cordialement
Mme Toussaint Christine 7 rue du Fort 54260 Othe France
Si vous avez des renseignements vous pouvez pour le moment les envoyer par mail
Monsieur Toussaint, il me ferait plaisir d’obtenir le document que vous désirez si vous pouviez me donner le nom de votre cousin, j’ai quelques vieilles photos prises à St. Henri mais pas tellement de photos d’édifices ou de maisons d’habitations, je pourrais cependant m’en procurer.
Marielle Hébert
Je suis née à St-Henri au 3716 Notre-Dame, mes parents y habitait en chambre, nous sommes déménagés au 225 rue Maria, mon frère Maurice et moi avons fréquentés l’école Jacques-Viger, par la suite je suis allée à l’Ecole Ste-Mélanie où nous n’étions que des filles. Mon frère est allé au Collège St-Henri et moi à Rose de Lima classique à côté de l’école Esther-Blondin sur le parc Cartier. J’ai quitté St-Henri en 1975 pour me marier. Je cherche à revoir un film dans lequel mon frère, mon amie Nicole Savoie et moi nous avons fait parties,: c’était dans la cour de triage du CN derrière le cinéma Cartier , c’était autour de 1960- 1964, nous montions dans de vieilles locomotives et jouions au cheminot!!!! Je suis fière de mon quartier d’enfance
Bonjour
Je m’appelle Robert Larocque et je pense que nous demeurions à côté de chez vous…mon père était boucher je merappelle de votre nom
Jacqueline Wasic restait en haut dans le même bloc et je suis cousin des Dufresne…
Je suis né à St-Henri en 1944. J’ai demeuré au 287 De Courcelles près de la pâtisserie Ricard. Je me rappelle des familles Phaneuf, Raiche, Lalonde et Lavoie. Je suis allée à l’école Georges Étienne Cartier selon une photo de groupe de la classe. Je suis dans le groupe Sud-Ouest des années 1900a1980. Ville Emard-Cote Saint Paul- Saint Henri.
Je suis toujours à la recherche de photos et de personnes qui ont demeuré dans cette rue dans les années 1944 à 1960.
Je m’appelle Micheline Sauvé née en 1954 rue Ste Émilie entre De courcelles et St Rémi. J’ai fréquenté au primaire George Étienne Cartier et au sec. Rose de Lima et Esther Blondin. Ma grande amie de l’époque était Line Roy qui habitait juste à côté de la pâtisserie Ricard. Elle demeurait encore à St-Henri ces dernières années et travaillait au CRCS St Zotique .
Quelqu’un aurait des photos du Chemin de la Station à St-Henri vers les années 1950 ou autres
Merci
Je suis de la rue Delisle, dans un fond de cour. En avant habitait les Robitaille, ils livraient le lait et les Pelletier. On est en 1959. J’ai fréquenté l’école St-Irénée pour quelques mois en 1ère année en 1960, puis j’ai déménagé sur la rue Pointe-Calumet dans Ste Cunégonde. J’ai donc été inscrit à l’école d’Iberville où je suis resté jusqu’à ma 7e. Puis je suis allé à l’école St-Raymond en 8e classique. On m’a déplacé à l’École St-Henri en 9e enrichie, et à St-Raymond pour ma 10e et 11e. Finalement j’ai fait ma 12e à St-Léon de Westmount en 71-72. Que de beaux souvenirs !
on s est surement connu dans les memes annees je suis aller au college st henri a l ecole st raymond aussi jusqu a 1970;
J’ai fait mon cours classique à l’école Saint-Raymond (année 1960)pour ensuite aller à Saint-Léon dans les mêmes années.
Je voulais dire en 1968 à Saint-Raymond et non 1960… Désolé
Collège classique St – Raymond de 1963 à 1967. Profs à l’époque : Perrault, Labrie, Corbeil, Davillaire, Mulot, . Parmi les étudiants: Pierre Martin, Jean-Marc Beaune, Pierre Haché, Bernard Lapierre, Roger Giraldeau
Salut Robert « Bob » Davidson,
Ça fait des lunes… D’autres profs : Fournier, Plouffe, Malette, Rajotte. D’autres étudiants : Richard Lapierre, Jacques Faguy, Robert Lafrance, Pierre Caron, Marc Pepin, Philppe Masse, Yves Demontigny, Gilles DeLa Durantay, Jacques Daoust, Jean Labrosse, Guy Métivier… Et les petits amis de St-Raymond primaire : Michel Martel, Daniel Narbonne, Roger Laporte, Lisa Nittolo…
VIR
Bernard Lapierre
J’ai fréquenté aussi l’école secondaire St-Raymond (coin St-Jacques et du Couvent) pour la première moitié de mes études secondaires, j’ai fini l’autre moitié à St-Léon-de-Westmount… Des noms de profs comme Claude Perrault (prof de latin), Normand « Stan » Labrie (religion), Caty (français) , Malette (histoire), Larose (sciences), Chagnon (mathématiques), et le directeur de l’école était un monsieur Jourdain. St-Léon-de-Westmount, rue Clarke, était une école à moitié française, à moitié anglaise, la première année que je l’avais fréquentée…
Bonjour,
Est-ce que la rue Du Collège à St-Henri aurait changé de nom ? Je n’arrive à rien en faisant une recherche Google. C’est comme si elle n’existait pas.
Merci.
Ça va, j’ai finalement trouvé !
elle a ete efface en 70 pour la polyvalente
Elle n’existe plus en effet au sud de St-Antoine.
La polyvalente a en quelque sorte mangé ce bout de rue dont tous les immeubles ont été détruits pour construire la polyvalente. C’est ce que j’ai lu récemment.
Bonjour,
Je suis à la recherche de photos de la rue St-Philippe entre 1890 et 1910 où la famille Nadon était propriétaire du 247 St-Philippe, il y avait aussi la famille Sirois. La maison a été vendu à Alexis Lachaine vers 1903.
Merci
J ai demeurer au 1001 lacasse en face de la batisse Rca victor
De 1957 a 1975 quand il y a eu un feu de 5 maisons.
Ont m appellait frank le grand si vous vous souvenez ecrivez moi
Je suis allée à l’école Ste-Melanie vers l’année 1957. J’aimerais tellement revoir des photos de cette école. J’ai déjà été voir dans les archives de St- Henri mais je n’ai rien trouvé. Quelqu’un a des photos ?
Bonjour je suis né en 1953 au 553 rue De Courcelle
Mes frères et soeurs sont tous nés à St-Henri.
Je suis le 13e de la famille sur 15 enfants
J’en ai entendu des anecdotes de l’époque de St-Henri et j’en entend encore par mes frères et soeurs. Ma mère est née en 1914 et décédée en 2010 mais combien d’histoires de vie et des récits elle nous a raconté
Elle est née à la Première Guerre Mondiale et a vécu durant la 2e Guerre à St-Henri . Biens à vous
J’aimerais voir une photo de l’arche de Noé du 3053 Rue Albert a St-Henri
dans les années 1950 a 1960
L’Arche de Noé est sur la rue Beaudoin. Ma famille y habitait début des années 50
1963 à 1967
1963-1967 : mes années au collège classique St-Raymond. Parmi les profs il y avait Perreault, Corbeil, Milot, Davillaire, Labrie, et parmi les élèves il y avait Pierre Martin, Jean-Marc Beaulne, Pierre Haché, Yves Bérubé, Fernand Lacombe, Roger Giraldeau, Bernard Lapierre
Je suis un ancien de l’école supérieure (secondaire) je viens du Griffintown ( paroisse Ste Hélène), j’ai été à l’école st Henri de 1957-1959. Fut président en 12 ieme année. J’ai adoré aller à St Henri , c’est triste que le coin de l’ancienne école n’existe plus. Je ne sais pas s’il y a des survivants de mon temps.
Je suis né en 1944 au numéro 226 du Parc Quartier, j’adorais vivre dans ce quartier mais je n’y ai vécu que 5 ans car mes parents avait décidé de tenir un petit restaurant sur le boulevard Taschereau à Mackayville. C’était s’en aller dans la brousse. Même encore à mon âge je regrette ce déménagement et j’ai conservé un fort attachement à mon ancien quartier. Je viens y faire un tour au moins une fois par année. Félicitation pour le site.
Michel
Auriez-vous une photo de l’école Georges-Étienne Cartier dans les années 1960-1970 ?
Bonjour, pour toute demande de recherche, merci de communiquer avec notre collègue de la référence à l’adresse courriel [email protected]. Bonne journée!
Très intéressant de connaître l’histoire de la Ville de St-Henri, merci,
Bonjour à vous,
Je suis Lisette Vézina et j’aimerais savoir l’adressse de l’orphelina Bethleem à St-Henri dont j’ai fait mon primaire à partir de 1948 chez les soeurs Grises.
J’ai fait ma première communion et confirmation avec les soeurs.
J’apprécierais beaucoup , ne pense que c’est Carré Richmond.
J’attend une réponse avec hâte .
Bien à vous et merci de faire la recherche pour moi.
Lisette.
Je suis né au 1737 Notre Dame entre les rues St Martin et Richmond en 1948.
On accédait au logement dans le fond de cour par un tunnel situé sous les logements sur la devanture de la rue Notre Dame. Aujourd’hui on y retrouve une tour à logement de plusieurs étages. Nos fenêtres arrières avaient regard sur la cour de l’église St Joseph. J’aimerais bien voir des photos de ces logements du font de la cour. Que de beaux souvenirs de cette période de mon enfance. Notre voisine madame Gagné avait deux fils du nom de Orel (Policier à Mtl et André. J’ai fait mon primaire dans trois écoles, soit St Joseph, Victor Rousselot et finalement école d’Yberville. J’ai fait mon secondaire au collège St Henri avec les frères des écoles chrétienne comme enseignants. J’ai demeuré à St Henri de 1948 à 1971. J’ai pris ma retraite après 35 années de service avec le CN (Canadien National). Si quelqu’un a des photos de la rue Notre Dame entre St Martin et Richmond, j’apprécierais beaucoup votre partage.
Bonjour, je recherche les parents biologiques de mon père qui est décédé. Sa mère était une Orel et avait deux frères. Était-ce ces mêmes personnes ?
ùQuelqu un se rappelle des noms de prêtre de l église St Henri entre 1966 et 1968 genre curé et autre merci