Avec la fermeture annoncée de la raffinerie Shell, l’industrie pétrochimique montréalaise n’est plus ce qu’elle était en 1965. La revue Montréal 65 du mois de mars consacre un article à ce secteur écononmique. On y mentionne que les «six raffineries de Montréal traitent 30,1% de tout le pétrole raffiné au Canada (p. 22) » et qu’elles emploient «près de 3 000 hommes (p. 23)».
En nombre de barils traités chaque jour, «la plus importante raffinerie de Montréal appartient à Imperial Oil dont la production quotidienne est de 84 500 barils (p. 23)». Les autres, par ordre d’importance, sont Shell Canada, Texaco Canada, British American Oil, BP et Canadian Petrofina.
L’article complet et son pendant en langue anglaise intitulé «Giant of the oil empire» peuvent être lus aux pages 22 à 25 à l’adresse suivante : https://fr.calameo.com/read/0002032743d2818ec8fde